Située en bordure de l’allée rectiligne qui sépare le jardin paysager du jardin architecturé, il n’en reste que peu d’éléments.
Il est possible de deviner son tracé selon la saison et la tonte de la pelouse.
Deux colonnes de marbre rose, surmontées de superbes vases aux anses sculptées de têtes, en sont les vestiges.
D’autres marbres, pour partie déposés et pour partie disparus, en délimitaient l’espace.